Apercevant des coupe-gorge lumineux

Je croule sous le poids du monde. Ma peau épaisse comme du cuir subit les assauts répétés de vos infamies. Coupable ! N’écoutez pas les antiques punitions, je supporte la lourdeur de vos crimes et je résisterai, je vous tiendrai la tête jusqu’au firmament....

Fantasme masculin. Pas forcément le mien, et demain ce sera un féminin (forcément pas le mien...) Il ferme les yeux et se prépare à dérouler l’écran noir de ses fantasmes... Il se laisse alors porter par une curieuse danse, la valse des petites culottes....

Souvent la tentation, si forte, si prenante, de se laisser aller prend le pas sur toute ambition. S'extirper des bras réconfortants, de la chaleur abrutissante de mère paresse est d’une grande violence. C’est l’histoire d’une femme. Petite, elle surprenait...

La formule est quelque peu lapidair e, je le concède, mais force est de constater vos penchants d'obsédés. Les statistiques d’un blog sont malici eusement révélatrices. Je vous explique : j'ai publié une quarantaine d’articles. Certains en quelques minutes...

Imitation harmonique L'erreur est humaine, une vraie harmonie s'efface devant la raide unité : armes et monnaie. Ces deux là ont une harmonie bruyante, froide ; leur musique grinçante crée un écho qui provoque l'avalanche. Leurs myriades d'étincelles...

Souvent, chez soi, on jouit d'une certaine tranquillité et l'on écoute de la musique. Il fait chaud, on se met à l'aise ; puis on se laisse porter par le rythme. En caleçon. Malheureusement, quand l'habitat moderne est une vitrine de boulevard, un public...

La végétation des villes se répand comme une lèpre fertile et nauséabonde, phagocyte aveuglément les souffles de vie. Le bitume coule comme une eau putride, recouvrant de sa stérilité la maigre nature, le béton venant, par la suite, annihiler tout espoir....

J'en cherche depuis bien longtemps, je trouve enfin ces petites fioles qui contiennent la fameuse huile prévenant la pousse de poils dans la main. Il va m'en falloir, de la volonté : le magasin se trouve à cinq pâtés de maisons, et il pleut des cordes....

C'est l'histoire, comme souvent, de deux idiots qui s'ennuyaient ferme sur la Côte d'Azur. Cette côte, elle est déjà pas enivrante en juillet, alors en septembre, l'angoisse monte comme une marée normande. Désœuvrés, errants sur la plage, un panneau apparaît....

C'est la réponse aberrante de Nicolas Sarkozy à une agricultrice qui osait lui dire – quel toupet ! – qu'elle vivait chichement, et travaillait sans compter ses heures. Il insinue donc que Madame est une grande bourgeoise, une riche propriétaire terrienne...